Libourne, Gironde, grande marée du siècle (bref, tous les 18 ans)

Publié le par L'Aquoiboniste atrabilaire

Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)
Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)
Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)
Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)
Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)
Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)
Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)
Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)
Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)
Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)
Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)
Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)

Dimanche 22 mars 2015, ne pas rater la marée haute, car l'eau redescend à la vitesse d'un âne de chez Rossi (guinguette à Condat) au galop, gare à ne plus trouver que des flaques quai du Priourat à Libourne face au confluent de l'Isle et de la Dordogne. Pile à l'heure, c'est à dire cinq minutes avant l'heure officielle de la marée haute, 9 h 29, coefficient pas si loin des 119 de la veille encore. L'eau pourtant marron est bleue comme le ciel dégagé, comme les bancs en métal peints de la même couleur que les volets du chai d'en face au soleil (est-ce Arveyres déjà, ou Fronsac ?). Spectacle somptueux des platanes les pieds dans l'eau, émergeant de ce plan d'eau spectaculaire et inouÏ. Comme les nôtres de pieds, la faute au dossier cassé du banc sur lequel nous nous sommes juchés quelques instants. Bien raté notre saut de celui-ci, plouf final, juste fatal à nos mocassins de ville pas taillés pour la crue du siècle. Bien contents toutefois de cet arrêt sur notre petit îlôt, même bancal, submergé/submergeant d'émotion devant la beauté du spectacle, merci la nature. Pourtant peu de Libournais pour assister à cette marée haute (le pays préfère le vin à l'eau, peut-être...)

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